Faire jouir une femme a toujours été un désir de l’homme pour satisfaire sa partenaire. Découvrez comment savoir si une femme a joui.
Que se passe-t-il quand une femme a un orgasme ?
Le signe le plus visible est une sensation de plaisir très intense dans les organes génitaux et dans tout le corps. Les muscles du vagin, mais aussi ceux de l’anus, se contractent (se resserrent) environ 1 fois par seconde, et environ 5 à 8 fois. Le rythme cardiaque (battements de cœur) et la respiration s’accélèrent également.
Le vagin devient très humide avant et pendant l’orgasme. Il est également possible qu’avant ou pendant l’orgasme, un liquide différent sorte de la vulve (parfois appelé éjaculation féminine ou “squirting”). Ce liquide n’est pas de l’urine.
Immédiatement après un orgasme, le clitoris peuvent être très sensibles ou inconfortables au toucher.
La poitrine, le cou et le visage deviennent rouges pendant un court moment. L’orgasme provoque la libération d’endorphines (les hormones qui font se sentir bien).
Chacun ressent les orgasmes différemment, et chaque fois que vous avez un orgasme, la sensation est différente. Certaines sont très intenses, d’autres sont très légères, et d’autres encore ne sont ni très légères ni très intenses. Les orgasmes varient pour de nombreuses raisons, notamment le degré de confort, le degré d’excitation et la tension sexuelle accumulée avant l’orgasme.
Comment faire jouir une femme ?
Essayer différentes positions
La pratique de différentes positions sexuelles est l’une des principales clés pour accroître le plaisir des deux partenaires. Bien que d’autres facteurs entrent en jeu, la vérité est qu’une bonne position permet d’obtenir une plus grande stimulation..
Mais attention, il ne s’agit pas seulement de le changer pendant les rapports sexuels. Il est également important d’essayer différentes positions dans des actes tels que le cunnilingus, le “baiser noir” ou toute forme de sexe oral pour accroître le plaisir.
Stimuler le clitoris pour accélérer l’orgasme chez la femme
Comme le suggèrent les recherches menées à l’Institut de médecine sexuelle de Marseille, le clitoris est également appelé “bouton du plaisir” en raison des sensations qu’il procure aux femmes. Comme il s’agit d’une zone pleine de terminaisons nerveuses, sa stimulation adéquate peut être le principal moyen d’atteindre l’orgasme.
Il existe différentes façons d’augmenter le plaisir de cette région : sexe oral, caresses, utilisation de jouets sexuels, entre autres. La chose la plus importante à garder à l’esprit est qu’il est ultra-sensible, il ne faut donc pas le traiter brutalement.
Varier les mouvements
En matière de sexe, chaque femme a ses propres goûts. Par conséquent, pour accélérer l’orgasme, il est préférable d’essayer différents types de mouvements et de vitesses.
Alors que certaines femmes deviennent folles avec un rythme “agressif”, d’autres préfèrent qu’il soit doux.
Utiliser des jouets sexuels
Intégrer les jouets sexuels dans l’acte sexuel est le meilleur moyen de briser la routine et d’améliorer la qualité des rapports. De nos jours, il existe des centaines de ressources qui permettent d’accélérer l’orgasme d’une femme.
Bien que certains hommes soient un peu “intimidés” par leur utilisation, ils font partie de l’expérience. Grâce à cela, le point G et d’autres zones érogènes essentielles à l’orgasme peuvent être stimulés plus intensément.
Quelles sont les raisons pour lesquelles une femme n’atteint pas l’orgasme ?
Comme c’est souvent le cas, la connaissance dissipe les mythes et nous permet de comprendre et éventuellement de corriger les problèmes qui peuvent survenir.
Les dysfonctionnements sexuels les plus fréquents chez les femmes sont le désir hypoactif (la femme n’éprouve pas de désir sexuel) et l’anorgasmie (impossibilité d’atteindre l’orgasme). Connaître la physiologie de l’orgasme permet de clarifier certaines situations :
– Sans désir, l’excitation et l’orgasme ne peuvent être atteints. Accepter d’entamer un rapport sexuel avant l’apparition de la lubrification vaginale signifie que les conditions physiques nécessaires à la survenue de l’orgasme ne sont pas encore réunies.
– S’il n’y a pas de lubrification, la pénétration risque de provoquer des douleurs. La douleur déclenche l’inhibition des centres du désir sexuel dans le cerveau et la réponse sexuelle est donc tronquée. Il n’y aura pas d’excitation ni d’orgasme.
– L’angoisse, la mélancolie et d’autres émotions connexes inhibent également les centres du désir du cerveau et entravent la réponse sexuelle normale.
– La peur de ne pas pouvoir ou l’inquiétude excessive d’atteindre l’orgasme inhibe également les centres du désir sexuel.
Si les stimuli pendant la phase d’excitation sont brefs ou inadéquats, le réflexe nerveux qui produit l’orgasme ne sera pas déclenché.
La fin de l’acte sexuel avant l’orgasme peut entraîner une sensation de congestion ou de lourdeur pelvienne et souvent de frustration.